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letra de afrotrap - deadi

[paroles de “afrotrap”]

[intro]
wow, qu’-qu’-qu’-qu’-qu’est-ce qu’il s’passe, han ?
d-e-a-d-i, mon pote

[couplet unique]
qu’on soit pas tous égaux m’est égal ; vu d’ici, tout n’est qu’un p’tit détail
on m’traite de génie, et je sais pas si c’est vrai mais, si c’était l’cas, ce s’rait génial
j’vois pas pourquoi j’devrais les croire, j’vois pas pourquoi j’devrais les croire
j’pourrais mettre les lunettes de jimmie, j’verrais toujours pas pourquoi j’devrais les croire
j’pé-cho’ comme si c’était les soldes, bédave comme si c’était légal
comptez pas sur moi pour les calculer, j’ai toujours détesté les maths
j’suis d’la génération [?], j’suis d’la génération téléchat
j’suis d’la génération : “expliquez-moi d’c’qu’il y a d’si super à niquer végéta”
on m’traite de drogué mais qui l’est pas ? t’éteins ton phone-tél’ qu’au cinéma
le mien reste éteint même quand j’y vais pas ; tu peux m’rappeler d’te rappeler, j’te rappellerai pas
et c’est même pas que j’t’en veux, c’est tout simplement que j’m’en rappellerai pas et c’est tant mieux
vu qu’j’ai tendance à m’rappeler qu’des crasses mais rappelez de m’ravitailler en beuh
arrête un peu de t’la péter, t’as l’authenticité d’un tatouage au velleda
j’habite au treizième d’un bâtiment d’treize étages, une panne d’ascenseur et j’dors à la belle étoile
j’ai toujours été fasciné par c’qui m’dépassait, les scènes de crime à faire dégobiller [?]
évidemment qu’l’idée d’y passer m’fait marrer ; nique la clé d’la réussite, on a celle des toits
plutôt rester crever là que d’crever l’abcès ; j’étais pas né que j’rappais déjà
tout l’monde sait qu’c’est des chats qu’ont bâti les pyramides, arrêtez d’me parler d’lézards
delta, echo, alpha, delta, india
[?] mitraillette lyricale, celle à qui t’as pris la tête et qui t’a décapité
j’arrêterai jamais d’te la mettre, j’arrêterai jamais d’me la mettre
c’est un fait, faites place à l’alien de la madeleine, tous mes raps mériteraient des replays à la max payne
si tu crois m’faire mal, ça va pas l’faire, j’grattais d’jà quand c’était encore à la mode de l’faire
han, hey, addict à la weed et à la pomme de terre
han, j’suis un genre de rasta dans un corps de belge
fais la forte tête et tu la perdras, déclare-nous la guerre et tu la perdras
pied d’la tour en guise de [?], amène-toi, j’ai d’la kush à coucher n’importe quel gars
ferme ta bouche à merde et la ramène pas ; mec, l’amour, ça coûte cher et ça paye pas
même ta mère se fout d’c’que tu vas faire d’toi, jette-toi du sommet d’ma tour infernale
[outro]
et qu’ça saute, han, hey

- deadi

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