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letra de salute - ​da uzi

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[paroles de “salute” ft. lacrim]

[intro : da uzi]
salute, jamais on s’arrête (s’arrête)
lamsi
jamais on s’arrête
eh (eh), eh (eh)

[refrain : da uzi]
j’vois des bandes de salopes qui salit, salute
jamais on s’arrête, prends ton pétard dans la ‘garri
change ta vie ou chante ton salaire, connu d’sevran jusqu’au mali
pour le ghetto, j’suis en haut-parleur
les oreilles bouchées, ça écoute pas, j’les vois qu’ils s’croient chauds
la guerre, c’est des bastos, c’est pas des crochets
le titre, j’suis v’nu décrocher pour mon château

[couplet 1 : da uzi]
le début, la fin, sont similaires, avant, j’te crossais pour six milles eu’
trop d’malheurs emmêlés dans l’milieu
dix milles questions, j’finis quillé, tarpez, couto, comme antillais
j’en ai vu balayer des anciens, dehors, c’est mauvais, y a pas d’fillette
y a quoi ? y a qui ? la mort à la clé si t’aboies
faut mordre, j’suis super borné, mon étoile, j’la suis, j’ai tout arraché
dès l’départ, j’suis différent sa mère (ouh), plein d’tales et j’régale ma mère
le cœur par terre, ma tête est partout, ils savent pas que j’rêve juste de partir tous ces putains d’bâtards
et le poids sur mon dos, il encule mes lombaires (ouh), trente ans, j’connais pas mon père (ouh)
trop d’balances, j’connais pas mon poids (ouh), da uzi du 9.3 (ah)
[refrain : da uzi]
j’vois des bandes de salopes qui salit, salute
jamais on s’arrête, prends ton pétard dans la ‘garri
change ta vie ou chante ton salaire, connu d’sevran jusqu’au mali
pour le ghetto, j’suis en haut-parleur
les oreilles bouchées, ça écoute pas, j’les vois qu’ils s’croient chauds
la guerre, c’est des bastos, c’est pas des crochets
le titre, j’suis v’nu décrocher pour mon château

[couplet 2 : lacrim]
paré, dis-moi tu vas faire quoi, toi ? quand tu parle, moi, j’suis à bali
ces fils de putes, je les bois une comme badoit, bourré au volant d’la ferrari
j’viens du département d’nino ferrara, ouais, il nous faut deux s’condes pour démarrer
si un frérot t’insulte ta mère, guatemala, y a que l’enfer qui peut nous séparer
connu l’cjd, enculé ta tante, on a piétiné des mecs dans les salles d’attente
après le parloir, ils veulent nous fouiller, j’ai scotché deux-cent grammes derrière les portes battantes
après, j’envoie l’auxiliaire récupérer, sa commission, c’est un morceau à cinquante
il parlait pas à ces minots, j’avais seize ans, à neuf heures du mat’, j’allais braquer dans la banque
allez, nique ta mère, j’te paye pas, ton manque de respect dans l’loyer d’la maman
la vue sur la mer, on rigole pas, j’ai la meilleure avec moi, évidemment
j’fais pas l’jour de l’an, j’fête que les millions, d’ailleurs, ce week-end, j’en fête encore un
j’évite les porcs, hein, l’épée de morain, uzi, t’es fort, hein, y a des armes de forains (baw, baw)

[refrain : da uzi]
j’vois des bandes de salopes qui salit, salute
jamais on s’arrête, prends ton pétard dans la ‘garri
change ta vie ou chante ton salaire, connu d’sevran jusqu’au mali
pour le ghetto, j’suis en haut-parleur
les oreilles bouchées, ça écoute pas, j’les vois qu’ils s’croient chauds
la guerre, c’est des bastos, c’est pas des crochets
le titre, j’suis v’nu décrocher pour mon château, ah (ah)

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