letra de yin yang - d. ace
[couplet 1 : d.ace]
j’ai jamais eu l’syndrome de la page blanche
mes idées noircissent mes notes, l’inspi’ s’écoule comme dans une avalanche
parfois j’ai des idées noires, la lumière au bout du tunnel
j’ai du mal à la voir, même en écartant les prunelles
regarde-moi dans le blanc des yeux, qu’est ce que t’y vois?
j’en ai passé des nuits blanches qu’est ce que tu crois?
vu qu’jamais, on la tutoie, la misère et ses conséquences
depuis bien trop longtemps, on vit une série noire en plan séquence
des soirs à broyer du noir, pour oublier, certains tapent dans la blanche
ou la revende, jouent le jeu de l’offre et de la demande
travaillent au noir depuis l’époque du franc
pour nourrir l’espoir qu’un jour peut-être nous aussi on signera des chèques en blanc
[refrain : d.ace]
j’suis dans des bails de yin yang
t’es pas mieux, t’es pas moins bien, équilibre depuis l’big bang
c’est c’que j’croyais petit quand
j’ai vu qu’dans la vraie vie souvent ça s’finit dans l’sang
blanc et noir (blanc et noir), noir et blanc (noir et blanc)
blanc et noir (blanc et noir), j’laisse un blanc
blanc et noir (blanc et noir), noir et blanc (noir et blanc)
blanc et noir (blanc et noir), j’laisse un
[couplet 2 : d.ace]
c’est l’histoire de colons blancs venus chercher les noirs
parce qu’un noir est inférieur d’après certains notoires
les années ont passées, faut croire que rien n’a réellement changé
ils ont toujours aussi peur du noir, ils représentent encore un danger
devenu la bête noire, peut-être même plus humain, mérite la faim
ils obtiennent carte blanche, des bavures qui s’terminent d’la même façon
et des rues noires de monde, pour prôner l’égalité
je sais sur quoi j’me fonde, donc j’me suis jamais fait à l’idée
[pré-refrain : d.ace]
de s’faire saigner à blanc sans même avoir l’apport
vu qu’après est le cran, d’ailleurs nos gens serais-ce de l’humour noir?
j’y vais de but en blanc, faudrait peut-être pratiquer la magie noire
pour remonter le temps c’était écrit noir sur blanc, qu’y a plus d’espoir
[refrain : d.ace]
j’suis dans des bails de yin yang
t’es pas mieux, t’es pas moins bien, équilibre depuis l’big bang
c’est c’que j’croyais petit quand
j’ai vu qu’dans la vraie vie souvent ça s’finit dans l’sang
blanc et noir (blanc et noir), noir et blanc (noir et blanc)
blanc et noir (blanc et noir), j’laisse un blanc
blanc et noir (blanc et noir), noir et blanc (noir et blanc)
blanc et noir (blanc et noir), j’laisse un
[refrain : d.ace]
j’suis dans des bails de yin yang
t’es pas mieux, t’es pas moins bien, équilibre depuis l’big bang
c’est c’que j’croyais petit quand
j’ai vu qu’dans la vraie vie souvent ça s’finit dans l’sang
blanc et noir (blanc et noir), noir et blanc (noir et blanc)
blanc et noir (blanc et noir), j’laisse un blanc
blanc et noir (blanc et noir), noir et blanc (noir et blanc)
blanc et noir (blanc et noir), j’laisse un
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