letra de le temps des illusions - chinois ladiktion
[couplet 1 : chinois ladiktion]
j’suis ce navire qui chavire car lourd est le fardeau
j’ai noyé ma rancune et mis le large sur un radeau
j’ai plus l’écrit d’un ado’ frère : trop mature
la vie fait pas de cadeau, la rue nous paye en nature
comme quand je sature, les frères finnisent pas bés-tom
marianne nous a agicher, nous a laissé que le bout du téton
confiance en laiton bien trop fragile
tellement pisté, que nous péter devient trop facile
approchе pas de c’qui t’fascine quitte à vivrе sous le seuil
tu croyais t’en sortir en faite c’est un trompe l’oeil
combien qui te porte l’oeil ? pour rien ça jalouse
ici la rue est une forêt truffé de piège à loup
zoom, mate a la loupe que nous reste t-il ?
des projets alléchants et des champs d’rêves qui nous mutilent
non rien n’est innutile, chaque crime aura son but
ça reste une évidence un peu comme chaque biz a son dû
la rime je l’accentus, travaille le fond
noyé dans mes écrits tellement que les thèmes sont profonds
ma plume peaufine, je gagne de l’endurance
pendant que les putes ce faufilent je m’éloigne de la concurrence
c’est fous comme la vie errance, le vice deviens une vertu
on m’a dit “reste humble à ces hérités des vers tues”
j’m’investis baisse ton rap d’extraverti
y a que des petits frères à l’écoute arrête de te travestir
la merde ce fait sentir, pas de temps pour les illusions
moi j’ai vue la bonté baissé par la trahison
traitrise a l’horizon, pétrit dans ton entourage
pour réparer les lésions faudra faire preuve de courage
sais-tu qu’écrire nous soulages autant que j’ai l’âme en peine
bientôt j’tourne la page dans un monde où si peu comprennent
dit-leur kacem y a que de l’encre dans ma saccoche
que je m’en bat les couilles que j’ai la rime que personne accroche
bientôt disque de béton gravé dans le ciment
pressé par le bitume entre vice et chatiment
loin des sentiments comme si ça tué
l’amour est mort et la rumeur c’est accentué
putain d’époque où j’y laisse des contusions
je parle tout seul à en tirer des conclusions
j’ai pensé chaque mesures, mersurer les conséquences
si le rap m’a à l’usure ce sera sûrrement ma dernière séquences
[couplet 2 : kacem wapalek]
on va rester roots, écoute ces rimes. on compte sur une main
les vrais amis on compte sur eux mais quand sur eux s’abat le sort
on compte se retrouver le soir pour cramer de la bago
triste image a leur mémoires. on va finir en gardav
au lieu de s’étonner de voir la mort frapper de nouveau
et elle frappe a la porte. des meilleurs d’entre nous ils partent
les premiers ne s’en sortent que les fous
des enfoirés notoires et les 3/4 du territoire
sont peuplés d’enfoirés, les notres dorment sur des trottoirs et j’ai pas la soirée
pas le temps de raconter des histoires même si un enfoiré
comme toi et capable d’y croire, fracturer le crâne
tu cède ? pour un larfeuille génère en toi plaisir et joie même nul est là pour porter le deuil
de notre innocence, réveillez-vous vivre ainsi n’a pas de sens
au rendez-vous de la prise de conscience
où serez-vous en r-t-rd, en avance ou pas là du tout
ne laissez plus part votre absence quelqu’un pensé pour vous
qui a tué notre innocense ? c’est insensé
ces tins sont si simples qui retranscrits nos rues, nos rées-soi sous celle-ci
ce sont une trace qui reste un cris de douleur retranscrit dans les règles de l’art
un flagrant délire verbale flingue rue dans l’air du temps mais avec la verne antan
ça claque dans ton cerveau, pas d’back mec, mais du bloc sec dans un vole
coupe t’écoute ce que je concocte un texte t’aime
quand je jacte à l’extrême avec tact j’exprime
la plus black des déprimes où on va rester roots, écoute ces rimes on nique ça reum a l’instru
envie de crime en série, y’a pas de surhomme un bon coup de surin y a plus personne et puisse qu’il n’a pas de serum
contre la sère-mi on en crève c’est grave, on rève tous de passer à trame
mais on est trop typés pour certain d’entre ceux qui pensent que quand y en a pour un, y en a que pour eux c’est la gamberge en france
elle part en testicule, qu’inculquer vous a l’enfance ? d’un état qui les encule à leur donné leur cu
ou à serer les fesses rends-toi compte de l’abus avant de dire la baise au fréres au fond du bus que certains regard apaise
[outro : kacem wapalek]
je voulais dire : le temps des illusions est mort mes frères
(est mort mes frères) ×3
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