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letra de heures sup - cheef

[paroles de “heures sup”]

[intro]
sangue et cheef

[couplet 1]
pas l’time pour les présentations, tous ceux qu’ont déjà peur [?] l’action
badman, trouve une femme vite, fais des gosses qui surveilleront tes fréquentations
banane, j’ai vu qu’ta carrière s’est finie tôt, j’vais percer trentenaire comme diego milito
malade en relation, toi, t’es efficace, mets but [?] inzaghi comme filippo
s’il faut, j’meurs, famille, abri, on s’est mis au beurre
ta vie est fake comme leurs kilos d’teush’, [?] t’es pas elon musk (non, non)
j’suis au bon-char’ depuis longtemps, j’ai remboursé l’crédit, j’veux pas d’tes [?] même si, franchement, j’les mérite (oui)
j’écoute, j’te dis : “nul” sans être expressif, j’suis pas [?] même si l’enfant est terrible
franchement, c’est veni, vidi, vinícius, j’gâte sans déc’
j’dis : “va t’faire foutre” dans chaque langue, mec, j’aime les enfants mais pas comme jack lang, non mais
j’vais squatter longtemps, ça va leur faire bizarre quand j’vais m’absenter
cours à longue distance [?] et j’me dispense, ils veulent avancer avec un schlass dans l’pied

[refrain]
quinze ans qu’j’taffe, toujours l’patron [?] sur une montre (enfant d’tain-p’)
son argent ou ma vie, j’trace pour pas qu’le ton monte (passe, passe, passe)
j’ai du temps pour ça maintenant qu’j’sais qu’chaque seconde compte (tic, tac, tic)
regarde dans l’ciel, j’arrive fat, man, comme une bombe

[couplet 2]
sur l’marché du taf, enfant d’tain-p’ veut qu’j’brade mes prix
il m’dit qu’j’bosse bien mais : “pas d’mépris, t’es trop famille et il faut pas qu’t’aies d’vie
t’es bon mais tu sens l’rap, la sensi'”, j’cours un cinquante kil’ assez vite
non, on veut dure corvée [?] d’la merci, quinze ans pour l’cac 40 et pas d’l’esprit
tu vois, f-ck l’avocat au travail, camarade, tu l’es d’un coup d’langue comme tao pai pai
frère, [?] où ça maille, on s’lève, qu’ils nous voient plus grands comme abdul-jabbar
ils deviendront oufs dans l’cas où ça part, j’rate pas ma cible, comme drone d’obama
descente, dénivelé, coach, j’m’adapte, ça t’coûte cher comme des connes sur ta barre
[refrain]
quinze ans qu’j’taffe, toujours l’patron [?] sur une montre (montre, montre, montre)
son argent ou ma vie, j’trace pour pas qu’le ton monte (j’m’arrache de là)
j’ai du temps pour ça maintenant qu’j’sais qu’chaque seconde compte (tic, tac, tic)
regarde dans l’ciel, j’arrive fat, man, comme une bombe

- cheef

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