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letra de maquina - cellulaire

[paroles de “maquina”]

[couplet 1]
j’ai un sourire quand les tales rentrent, j’suis pas rentier
elle me demande ce que je fais dans la vie après avoir vu le prix
pour aller mal comme moi, il faut le faire
j’vais pas me contenter de peu, j’vois un ciel bleu

j’me rappelle quand j’étais là en mode « ne part pas
regarde les flammes qu’on a allumées en pensant aller mieux
on se revoit, mais on ne parle pas
ne me regarde plus jamais dans les yeux si tu veux aller mieux

l’amour et la haine, j’me sens habité par les deux
c’est pas de l’eau, c’est du feu, il y a plus de larmes sous les yeux
ils parlent sur moi comme si j’avais parlé d’eux
j’ai pas le temps, j’ai pas l’envie de donner du crédit à ces geush

j’run, j’arrive, pas de pause, pas de refrain, pas de topline
j’les vois en bas de la côte, j’m’éteins pour la cause
j’vais mal dès le matin, je suis matinal
je le fais sans réfléchir comme si j’étais una maquina

[pont 1]
j’run, j’arrive avec des douleurs abdominales
faire de mon mieux, c’est devenu mon minima
je ferme les yeux même si je sais que ça finit mal
je deviens aveugle, j’oublie tout et j’me dis que c’est pas si mal
[couplet 2]
j’vois le sang à 160 dans une audi noir
il me dit que ça va, accélère, j’ai du mal à le croire
j’rentre du centre à pas d’heure envahi par le mal
j’combats le mal par le mal, je parle toi, je parle

parle plaque ou parle pas, j’m’éteinds dans le bas
j’m’éteins dans le parc mec, j’modifie les paramètres
ils veulent savoir ce que je fais dans la vie, je reçois des paypal
j’veux pas d’une vie qui ne paye pas, pas du genre à dire « qui pour me paye ça? »

[pont 2]
nouvelle moncler, nouveaux habits noirs
pas du genre à dire « qui pour me paye ça ?
j’me laisse faire et je le sais, j’me laisse faire et je le sais
j’me laisse faire et je le sais, j’me laisse faire et je le sais, okay let’s go !

[couplet 3]
j’me laisse faire et je le sais, j’attends le pire venir
j’vois son venin de vipère, j’attends que les tirs arrivent
je ne vois pas les signes, je ressens les balles
j’suis déjà mort inside, tu me dis « ça va ? » , je dis « fine »

j’oublie tout et je m’efface, je pourrai disparaître
trop d’attention et mes sentiments apparaissent
du genre que tu comptes pour moi et que t’es pas pareil
je te laisse ma veste et je te donne mon plus beau apparel
dans les yeux, j’mets le tire, j’attends pas qu’ça ralentisse pour les mettre à l’amande
j’suis triste apparemment
dans mes sons, je fais le vide, j’envoie des prods, je reçois des virements, jamais j’me laisse tenté par le vice

- cellulaire

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