a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de kobé - calimero beats, dez, ssure, blanc-gris-noir

[refrain]

j’m’installe, j’rentre dans la prod
pas de prétexte, tu connais la méthode
j’te vend du rêve, tu fais pire qu’une o.d
j’aurai la cl-sse de kobe et mon steak de kobé

[couplet 1 : blanc-gris-noir]

dans les mains j’ai l’as de pique
j’ai gaché hélas de l’encre
rare comme de l’améthyste
a choisir je vise le centre
entre les ghandi les perdican
candide et les nuits blanches
qui me font comprendre que rien n’est blanc
au-delà des espérances
j’ai p-ssé des jours noirs à penser à l’au-delà
et là de l’eau j’y plonge pour oublier les engueulades
c’est l’art de se fondre en larme et souvent en lame de fond
fonce et c-sse les quatres saisons
tu cast tes sons mais tu caches tes songes
toi tu te perds sur les cartes car t’es qu’un tas de mensonges
moi j’suis l’as des comptes
et las des cons lasdeg qui lâchent des « comme »
nan là j’déconne
la musique est lourde comme mon sac d’école
j’vois pas le ciel médisant
j’me souviens pas d’hier comme de l’anniversaire
de mes 10 ans
tu peux prendre l’âme mais pas le corps
en faire un drame mais pas te faire mordre
flairer les annonces
cultiver ta cons
t’échapperas pas à la mort
si j’tourne un jours on verra blanc-gris-noir
saccager des scènes, accablé de peines
j’ai grandis dans un monde qui n’était
jamais le même

[couplet 2 : dez]

protégé de l’averse avec un pers’
j’me réfugie dehors pour oublier l’malaise interne
et au final j’finis par terre
défaut de pouvoir parfaire un texte
j’voulais sortir du trou noir j’ai finis par faire l’inverse
et j’ai qu’des feuilles blanches
balance une instru juste pour qu’elle m’accorde une seule danse
j’ai 2 de tension
le talent toujours en expansion :
des pensées à versifiées
des rimes, des flows
des mots, des phrases diversifiées
j’ai le coeur froid maintenant l’hiver s’y fait
perdu dans un bahut avec 200 couloirs
on se jette des regards -ss-ssins
comme si on était obligé de s’en vouloir
et dans cette peine on s’morfond
j’voulais m’sentir vivant au final j’fais ce que les mort font
a baigner dans les cendres et rongé par les vers
le teint pâle et terne, avec la peur de l’éternel
le plus triste est peut-être que j’en parle sans que ça m’énerve
j’connais les ruelles de ma ville plus que ses merveilles
en avançant les yeux couleurs vermeille
qu’est ce que t’as dans la cervelle ?
pas grand-chose à part besoin de peu-ra
toute la soirée avec les crocs
leurs ordres sont que de faux radars
laissé moi faire mes proses
protégez-vous quand les fauves attaquent
et quand s’déchaîne les flows

[refrain]

j’m’installe, j’rentre dans la prod
pas de prétexte, tu connais la méthode
j’te vend du rêve, tu fais pire qu’une o.d
j’aurais la cl-sse de kobe et mon steak de kobé

[pont]

j’te ves-qui maintenant, car j’dois foncer
ouais j’te ves-qui maintenant
j’te ves-qui maintenant, car j’dois foncer
ouais j’te ves-qui maintenant
j’te ves-qui maintenant, car j’dois foncer
ouais j’te ves-qui maintenant

[couplet 3 : ssure]

cherche ceux qui attisent tes flamme
pas ceux qui attisent ta flemme
j’fais ça pour les femmes
mais pas pour qu’elles m’aiment
je suis le prince de ces dames
quand dans paris je traîne
nous c’est anagram
et toi t’es à la traine
pas de meneur dans l’équipe, gros
de traître qui t’appelles « fréro »
on fait ça pour les euros
donc on iras haut de l’avenir
t’es irradié si t’es contre moi
contrairement à mes pensées
tous mes actes sont controlés
paye ta place de concert
ma victoire j’te la dédierais
on m’as dit « ré-respire »
j’ai pris 3 longueurs d’avance
ils veulent me ralentir
me ramener à leur cadence
j’fais le con mais j’les fait danser
je suis le vent qui t’enflamme
j’te pousse vers l’avant
pas celui qui te pousse vers la vente
de ton boulard
qui te laisse dans l’espoir
que t’auras un jour une rente
je taff la zik je ne compte plus les heures
je ne compte plus les jours
gardiens de but ça fait longtemps que je ne compte plus sur les cours

[pont]

j’te ves-qui maintenant, car j’dois foncer
ouais j’te ves-qui maintenant
ouais j’me taille
j’te ves-qui maintenant, car j’dois foncer
ouais j’te ves-qui maintenant
je t’esquive
j’te ves-qui maintenant, car j’dois foncer
ouais j’te ves-qui maintenant

- calimero beats dez ssure blanc gris noir

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