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letra de une odeur de tournesol - bleu nuit (fra)

[paroles de “une odeur de tournesol” ft. sādhana]

[intro : bleu nuit]
yeah, eh

[couplet 1 : bleu nuit]
j’vois quelque chose qui apparaît, ça prend forme
y a comme une odeur dans l’air, un mélange de fleurs et d’soleil
tout ça ça sent l’aventure
yeah, monte le son dans la voiture mais fais attention sur la route, pense à garder les bras ouverts
l’air est frais, le temps est doux, la vie en samurai champloo
pour une fleur, on pourrait aller partout
et puis surtout, nous aussi on s’tourne toujours vers le soleil
yeah, la chaleur c’est enivrant, brille joliment comme un bijou
la vie t’a fait un bisou, alors t’as l’droit de sourire bêtement
profites-en, c’est que l’début de ta plus grande aventure
pour améliorer ton kung-fu, il faudra travailler dur, yeah
sur l’chemin, passe voir à bx la plus fine lame du pays
et en partant, pense bien à prendre la vx car là elle prend juste la poussière
on va tout garder sur cassette, mec vas-y
appuie sur l’bouton rec’, c’est facile
il faut qu’à la fin tu t’rappelles de toute ta vie
yeah, filme encore, change de cassette
quand y en plus, faut que t’en rachètes
transcende la condition humaine, bouddhismecore dans les oreilles
[pont : bleu nuit & sādhana]
yeah, eh, ah
ah, ah, yeah
[ralentiss-m-nt de l’instrumentale]
hey, hey

[couplet 2 : sādhana]
à la suite d’un long sommeil, pareil à l’orné des graines
des chants étranges par d’là la fenêtre, je tends l’oreille, les bruits s’répètent
est-ce un nouveau jour à venir ? un nouveau cycle à vivre?
j’sors d’une fiction ou un mythe ? l’aventure prend une autre tournure
si j’agis bien, n’longe pas les murs, dépasse mes limites, fais la cure
c’est pas j’me dis : “les temps sont durs”, c’est pas j’fuis un peu tout c’qui est pur (yeah, yeah)
quand tout est confusion, que l’chaos règne en maître
j’fais deux trois pas, du lit au rebord d’la fenêtre entrouverte, j’y passe ma tête
je peux ressentir qui je suis, en présence de l’être aimé (yeah)
on m’a offert des mondes, on m’a tendu les bras (hey)
mais j’ai du mal à perpétuer, parfois mon monde peu paraître froid (c’est vrai)
j’suis si bien sous mes draps, quand mes rêves s’emparent de moi
en transe quand j’recherche profond, en pleurs si j’m’arrête pas
le combat n’s’arrête pas là, le combat c’est plus que ça
les faiblesses creusent un genre d’fossé, les prières construisent le pont (yeah, hey, hey)
j’peux changer d’ton si j’touche le fond mais admettons qu’j’reste sur le pont (yeah)
j’pousse le truc à fond, affronte les vices, les ombres en tremblent
mon bro, ça vise des temps plus tendres (shine)
je n’peux plus attendre (shine), je n’veux plus attendre
à les entendre, ils perdent toute vertu, le courant n’passe plus à présent (yeah)
ça songe à s’retirer loin d’là, esprit focus apprend dans l’tas
[outro : sādhana]
hey, hey

- bleu nuit fra

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