letra de freestyle couvre feu / oklm - bfg
[freestyle 1]
occupé à faire du taff sale pendant qu’la daronne prie
j’suis pas fons-dé juste fatigué d’la vie si tu vois qu’mes yeux s’plissent
a avoir trop les crocs ici on est plus d’un
faut s’aider entre potes, mais les trois quarts sont des putains
tous les mêmes car j’me plains des mêmes ‘blèmes que mon voisin
si t’as du mal à m’comprendre khey, c’est que t’en es pas un
pour satisfaire des grosses envies faut plus que des p’tis larcins
c’est peut-être pour ça qu’on grandit vite et qu’on devient si malsain
rien d’plus cher au monde, qu’celle qui m’a donné l’sein
pour elle faut que j’réussisse, que tous mes efforts payent à la fin
j’rappe ghetto, mais c’est pour les quatres coins du monde
on parle pas la même langue mais quand le cœur parle, [?] tout l’monde
j’trouve l’inspi’ seul ou l’soir à fond sur l’périph
et j’gratte avec le seum avec deux/trois contrôles de police
j’veux investir, faire du biff comme au monopoly
sans r’p-sser par la case prison, la cellule, la zère-mi
mes pensées ont des couleurs sombres comme la plus part d’mes amis
tous des boloss de [?] là on ressemble à des zombies
tous dans des combines bizarres
les p’t-ts aimeraient voir la mer, plus souvent changer d’paysages
pour quitter la hess, le biff c’est le visa
d’où j’viens y’en a peu, la douleur se lit sur nos visages
libre, mais parfois j’me sens entouré d’barbelés
j’fais du mal, j’pèche, j’espère que dieu va m’le pardonner
j’ai trop changé depuis l’époque où j’avais d’la morve au nez
d’autres sont p-ssés du bac à sable à la c0ke dans l’nez
putain c’est sale frère, ça se met à faire des choses qu’avant on pensait jamais faire
même moi j’suis choqué, quand j’vois à quel point certains s’perdent
mais c’est ça d’grandir dans des situations précaires
alors j’baiserais la france jusqu’à cher-cra, jusqu’à quand j’sais pas
ça fait d’la maille sale, rares sont les thunes qui s’épargnent
j’c-sse mon tête avec la zèr-mi, que personne ne sépare
j’suis qu’a un écras-m-nt de tête de prendre un nouveau départ
on veut départ, voyager, s’taper des barres de rire, aussi du caviar dans nos -ssiettes de riz
en résumé, on veut la grande vie, être les princes de la ville
[?] qu’on voit qu’dans les films
j’veux m’payer une baraque cash avec le design à la page
me mettre bien, arrêter d’vivre à l’arrache
j’ai la rage m’entends toujours pas à la radio
l’impression que c’est pas avec [?] mais avec l’anonymat que j’kick en duo
frappe game, ma clique sort du lot
la routine essaye d’nous noyer, nous de garder la tête hors de l’eau
comme nessbeal j’rappe la mélodie des pauvres
pour ceux qui connaissent toute l’année la grève des lovés
qui ont juste de quoi faire chauffer leurs pattes dans l’eau
moi j’kick ça, une main sur l’cro-mi, le cœur dans l’autre
pardon pour les fois où j’donne l’impression d’être le plus démuni
pour ceux qui s’bouffent les ongles parce qu’ils ont que ça, j’fais une prière en musique
au nom du père, du vice et de la chienneté
quand l’bonheur est trop loin, inutile de t’rappeler ce qu’on côtoie d’près
même si j’ris plus que j’pleure, j’relativise peu, j’comptes toujours autant d’problèmes au compteur
j’suis un éternel insatisfait, si un jour j’ai l’million en poche, c’est le milliard que j’reverais d’faire
j’ai la dalle frère, c’est à durée indéterminée
j’peux sauter à tout moment, j’marche sur des [?]
j’ai besoin d’euros, d’points en illimité sur mon permis b
que tous les radars, keufs, darmes-gen aillent s’faire niquer
pet-t homme avec des grandes ambitions
j’espère pas finir déçu, noyé dans la boisson
j’me fous d’être regretté comme jackson michael
l’important c’est qu’mes proches disent qu’il y avait quelqu’un d’bon dans mon cercueil
eécroués, même à l’air libre on rève de s’en sortir
la paix vient pas sans la guerre et l’tarpé c’est jamais sans l’sortir
j’préfère m’appuyer, sur un poto qu’sur un pote
j’préfère mourrir à la guerre que lâche en sautant au dessus d’un pont
j’te l’ai déjà dit, j’veux l’million d’euro net d’impôt
j’préfère crever d’une balle dans l’cœur que d’un coup d’outeau dans l’dos
j’fais autant d’bruit qu’un compète avec un trou dans l’pot
j’viens inonder paname j’ai d’a bonne frappe et du gros son dans l’poste
[freestyle 2]
on essaie de faire d’mieux en mieux, j’t’ai pris un plot, demain mets en deux
caillera à la muerte on jette dans l’feu, pet-t, on est pas des mêmes terrains d’jeu
parle moi en kilogrammes, parle moi en eu, j’t’échange ma caisse contre deux litrons d’beuh
oublie si tu peux pas l’faire à moins de [?], on chipote on commence à s’faire vieux
penses-tu vraiment y arriver en regardant les autres faire ? eux, c’est pas en regardant qu’ils ont appris à l’faire
tu peux réaliser tes rêves en vivant un cauchemar, avoir les poches pleines et faire dix ans au shtar
tout est dans la tête, tout est dans les cojo, pas besoin d’boire taurine de taureau
est-ce que les baltringues trouvent leurs couilles dans la coco ? si tu m’demandes, j’te réponds yes
c’est d’la frappe sa mère c’est moi qui l’ai ramené, j’ai des contacts en bas, au prix où j’te la fais
tu peux bien manger gros, j’l’ai p-ssée qu’à toi, y’a des mecs d’ailleurs qui sont pas dans l’secteur
tout l’monde raconte des balnaves, pour guer-la l’produit en temps et en heures
si tu les écoutes, ils ont connus pablo, ils baisaient des putes ensemble, ils tapaient des restos
la go est enceinte, connait pas l’papa, grosse chienne de guerre, connait pas l’pare-balles
daleu d’la tess’ connait pas l’pare-balles, j’en excuse aucun, on peut pas dire que j’parle mal
sur la tête de beuh j’veux les coquer, retiens bien ils vont m’appeler pour demander à feater
si les soirs du 15/30, tu sais pas quoi faire, j’organise des partouzes, tout l’monde est invité, follow
dis leur que j’suis en forme, j’suis qu’à l’échauffement, on m’appelle coach carter
il m’reste quelques séries sous la barre, quelque biff à récupérer là-bas
deux, trois courses à faire, avant qu’ça ferme, j’finis l’couplet, j’clip et j’envoie
j’suis dans les temps, mieux en mieux, premier en sport, en clip et en chant
[freestyle 3]
j’leur ai donné de l’amour, ils m’ont donné d’la peine, faux frère
j’leur ai ouvert mon cœur, ils ont fait rentrer la haine, faux frère
j’leur ai fait confiance, ils m’ont trahi, faux frère
j’voulais arranger les choses, ils m’ont traité, faux frère
avant on était potes, aujourd’hui tu veux ma tête sous l’épée (x3)
avant on était potes, aujourd’hui tu veux ma tête
amis d’enfance, frères de cœur jusqu’à la mort c’est ce qu’on s’était dit
c’est l’sh-t qui fait qu’on oublie l’oseille ou l’pouvoir qu’une tchoin a entre ses cuisses
beaucoup au départ, peu à l’arrivée, tout commence par une belle amitié
et quand tu commences à t’habituer, tu t’fais niquer ouais c’est ça l’idée
je t’aimais comme la france, je t’aimais comme la france aimait johnny hallyday
maintenant crève dans l’feu, fils de pute, c’est sûrement pas moi qui viendra t’aider
le temps m’fera oublier, le temps m’fera t’oublier comme mon lecteur dvd
croise les doigts mais pas mon chemin sur terre ou au ciel après avoir décédé
j’leur ai donné de l’amour, ils m’ont donné d’la peine, faux frère
j’leur ai ouvert mon cœur, ils ont fait rentrer la haine, faux frère
j’leur ai fait confiance, ils m’ont trahi, faux frère
j’voulais arranger les choses, ils m’ont traité, faux frère
avant on était potes, aujourd’hui tu veux ma tête sous l’épée (x3)
avant on était potes, aujourd’hui tu veux ma tête
[freestyle 4]
pour du feu-bi y’a pas de sentiments
ça t’enlève la vie, ça repart en sifflant gentillement
pour du feu-bi y’a pas de sentiments
ça t’enlève la vie, ça repart en sifflant gentillement
on va régler ça, on va régler ça, j’ai acheté un nouveau joujou pour toi
on va régler ça, on va régler ça, y’a 2/3 têtes qui sont prêtes à s’mouiller pour moi
j’monte chez toi, j’attends pas qu’tu descendes, j’ai croisé ta dinde dans la cuisine
j’lui ai bandé les yeux, c’était très sale, on a réglé ça, on a réglé ça
rien ne sert de jouer les thugs, tu trouveras toujours plus thug que toi
qui aime jouer du flingue, crèvera d’une bastos plus grosse que l’bras
on choisit pas sa famille mais on peux choisir ses ennemis
y’en a qui reculent devant rien, sans indiscrétions, qui t’sortent de ton lit
on peut t’envoyer parler à dieu, le voyage se fera à nos frais
une fois rentrés à la maison, on sort le champagne du frais
j’crois que t’as pas idée, c’est terrible, terrible à tes risques et périls
j’crois que t’as pas idée, c’est terrible, on t’allume, on repart en sifflant, ouais c’est terrible
pour du feu-bi y’a pas de sentiments
ça t’enlève la vie, ça repart en sifflant gentillement
pour du feu-bi y’a pas de sentiments
ça t’enlève la vie, ça repart en sifflant gentillement
quelques problèmes à régler, 2/3 noms à rayer, ils peuvent me réveiller
c’est pour ça que j’dors toujours avec un machin plus que chargé sous l’oreiller
on s’est croisés hier, on était sapés en blanc, on a fini en rouge, poto pas d’manières
y’a qu’les montagnes qui s’rencontrent pas donc trimballe un flingue dans les soirées dansantes
on a gunshot sur ton boug, j’en suis navré
bébé y’a plein d’autres mecs avec qui tu pourras t’remarier (j’suis là, j’suis là !)
c’est toujours pareil, on dira qu’les meilleurs partent les premiers
on peut t’envoyer parler à dieu, le voyage se fera à nos frais
une fois rentrés à la maison, on sort le champagne du frais
j’crois que t’as pas idée, c’est terrible, terrible à tes risques et périls
j’crois que t’as pas idée, c’est terrible, on t’allume, on repart en sifflant, ouais c’est terrible
pour du feu-bi y’a pas de sentiments
ça t’enlève la vie, ça repart en sifflant gentillement
pour du feu-bi y’a pas de sentiments
ça t’enlève la vie, ça repart en sifflant gentillement
[freestyle 5]
j’te vois souvent l’soir en fin de semaine, j’te vois souvent l’soir en fin d’semaine
j’voulais t’parler c’était pas l’moment
j’étais pas seul, c’était pas l’moment
j’voulais t’parler c’était pas l’moment
t’étais pas seul, c’était pas l’moment
tu m’as tapé dans l’œil, j’dois l’avouer
je t’ai dans la tête mais j’connais pas ton prénom
j’veux plus jouer
si j’ai l’occasion j’vais pas la rater, non
juste toi et moi, quelque part
personne d’autre, pas d’compagnie
j’espère que y’a personne dans ta vie
nan nan nan, j’veux pas être ton ami
j’te vois souvent l’soir en fin de semaine, j’te vois souvent l’soir en fin d’semaine (x3)
j’voulais t’parler c’était pas l’moment
j’étais pas seul, c’était pas l’moment
j’voulais t’parler c’était pas l’moment
t’étais pas seul, c’était pas l’moment
[outro]
bfg, couvre feu, oklm radio
le 30 juin, quinze / trente
maumau ledos
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