letra de shang tsung freestyle (1 mc = 7 flows) - bezah miyagi
[couplet 1 : boom-bap}
idiot, je te décerne le bonnet d’âne
tout c’qui sort de ta putain de bouche pollue tel un pot d’échappement
t’es qu’un colossal iconoclaste
un clone qui sort des tonnes de daubes, hé, gogole, c’est inconsommable
bomboclat, j’largue des bombes au poivre lyricales
confortable est mon avance, j’t’inonde de combos hard
j’endommage ton son potache, j’flanque des grosses baffes
incommensurables, j’suis insolent, fuis-moi, b-tch
j’enchaîne les cascades vocales, appelle-moi “mad max”
ton style fade d’occas’ à base de bad vibe me l-sse grave
j’en fais mon c-sse-dalle ; en clair, ton savoir
c’est du pipeau, de la poudre aux yeux pour les gros gagas
rap de grand standing, j’défends des causes sensibles
ma franchise déclenche des tensions, la sanction
est constante ; illico, je stoppe ton cirque
toutes tes fausses combines, t’es aux antipodes d’la bonne conduite
[couplet 2 : trap music]
j’n’ai plus envie de faire d’effort pour ces espèces de beaufs
j’les annihile de façon cynique à la pierre desproges
ils jettent des sorts, mettent de la merde dans la tête des gosses
tous les moyens sont bons, mec, pour s’en foutre plein les poches
fils de belzébuth, parasite crade
j’ris et t’exécute à la negan
vite et clair, j’exclue ta cl-sse d’ignares
mon putain d’vers est pur et magistral
vicelard à la donald trump, je n’ai pas le physique que les fol-sses veulent
mais j’ai le phrasé d’un brillant orateur, pét-sse, ressens-tu la claque dans les hauts-parleurs ?
ne compare pas la lune à une lampe de poche ; mes cordes vocales créent des ondes de choc
je ferme les gueules de ces langues de fiotte, cette bande de trolls me sort des orbites, hun
j’suis le pire ennemi de cette épidémie de débilités, mec, ça débite des inepties
pour divertir la m-sse, il est évident qu’ils sont à la ram-sse tels britney spears
m-ssif à la bolo yeung, j’ai la rage au ventre, marre de voir des cancres
encensés par ces putains de moutons matrixés, c’est le monde à l’envers, han
spectaculaire et efficace, appelle-moi “james harden”
je traîne ta tête sur l’macadam, j’exagère
volontairement mon phrasé ; machin, observe ma verve
j’-ss-ssine en studio comme en concert, my man
mon rap est addictif comme de la crystal meth (heisenberg)
il est aussi dévastateur qu’un fist à sec, j’répète
mon rap est addictif comme de la crystal meth (walter white)
il est aussi dévastateur qu’un fist à sec
[couplet 3 : chill vibe]
je navigue sur les mots sur un air de bossa
j’ai une flemme de gros tas d’merde, j’vais perdre mon time
mais c’est clair que j’m’en tape, faire les cent pas
n’est pas au programme, homie ; aujourd’hui, je vais rester au calme
je veux juste chiller, jubiler
de cet instant avec ma dulcinée, butiner
son miel et supprimer ceux qui p-ssent leur temps à fulminer
ne plus ruminer, pute, pigé ?
laisse-moi pépère, j’festoie, le spectacle
est extra, c’est l’rêve, c’est même l’extase
mec, ne reste pas ‘vé-ner’ et lâche du lest
je suis un grand fan de gr-sses mat’ -ssumé, amusé
par le bruit des vagues et le rire des marmots
cette mélodie me charme, c’est le fruit de l’amour, han
j’côtoie trop d’gens néfastes et j’m’en rends compte
donc j’nettoie mon esp-ce de fond en comble
yeah, y’a des jours comme ça
on n’a pas envie
öster, beah miyagi
…
[couplet 4 : double-time flow]
hip-hop jet-pack, ça déballe des rimes et lévite dans l’esp-ce
je te malmène et te balade, pet-t wack, découpe le mic à la manière d’un boucher dans la foulée, gars, exact
j’ai la cl-sse de bill gates et la dalle de six serbes
je ram-sse les tripes fraîches de ton rap naze de sh-m-l-
j’suis de l’école de kool g rap, pute, remballe tes booty claps
et ton crew minable que j’roue de coups vivaces, j’en fais des soumis hard
j’fournis la formule qui lamine et qui te pourrit la vie, j’éradique tous les rigolos
tous les rappeurs à la mode, y’en a marre des ces pauvres inaptes, au final (c’est grave)
ne vois-tu pas que t’es pas de taille, pédé ? accéder à ce level de fou
demande du taf et de la rigueur, tu n’as pas le mental, dégage de ma vue, sale aliéné
j’suis un sniper à la laurent baffie, chaque apparition est un moment magique
je vois que tu perds le filon, l’ami, je te fais cuire dans un bidon d’acide
spectaculaire à la jackie chan, j’ai la maîtrise du sharingan
man, je fous un f-cking bordel semblable à la bataille de stalingrad
animal, marginal au talent abyssal, kamikaze charismatique
je m’efforce de faire dans l’qualitatif
[couplet 5 : u.k. grime]
je me pose avec charisme et finesse ; remercie-moi, comme jacquie et michel
je viens chier sur ton horrible business ; après ça, tu restes docile et inerte
je vais faire de toi mon choriste fidèle, chronique migraine
pour ton équipe de comiques ; j’dissèque ce tas de trav’, les fume jusqu’à c’qu’ils rôtissent direct
véritable carnivore qui se balade pépère avec sa camisole, f-ck babylone
et ce tas de moutons qui me filent la nausée, les pires connards du monde s’additionnent
j’suis un mélange entre darry cowl, aristote, voire harry potter
j’ai l’arme fatale, comme danny glover ; amigo, j’flirte avec l’extrême (comme d’hab’)
je file à des milliers de kilomètres, évite les types vils, kick le beat facilement
j’élimine et laisse livides tous ces vilains minets, j’ai mis la barre haute et tu pédales dans le vide, c’est risible
kalachnikov lyricale, j’cavale et frac-sse tes côtes immédiatement
t’am-sses les fautes, scélérat, tu agaces, ram-sse tes fragments d’os
tu tapes dans la schnouff, craches dans la soupe, t’acclames ma cl-sse dans la foule
tab-sses ton amour pour la médiocrité ; dans l’rap, j’efface ton parcours
j’suis un putain de verbal criminel, m’écouter rapper est un privilège
rigueur militaire, mathématiques auditives qui finissent par tes rendre suicidaire, boom
[couplet 6 : horrorcore]
hey, j’ai des penchants schizophréniques
j’-ss-ssine en m-sse, comme slobodan milosevic
spécialiste en -n-lyse biométrique
j’inspecte ton anatomie puis te cryogénise
j’poignarde ta copine sous sa douche façon norman bates
déplace son corps et l’incinère avec un yoga flame
la grosse baleine qui te sert de mère
je l’égorge à l’aide d’une lame rouillée et d’une corde à linge
j’aperçois ton papa
je l’étouffe avec ses burnes puis le jette au placard
je me tape grave des barres avec son pauvre cadavre
un cas rare, un putain d’incapable fana de flakka
trop facile, ma gueule ; j’m’organise
et traumatise ta sœur, l’attache et écrase sa cage thoracique
j’m’abreuve de dopamine ; ta famille de porcs racistes
affreuse est désormais qu’un mauvais souvenir
[couplet 7 : wu-tang vibe]
j’rate rarement ma cible, comme john wick
chirurgical comme morbide
j’prône l’hors-piste ; clone sordide
je te victimise en t’infligeant de grosses mornifles
j’t’intimide avec mon haka
bezah lomu est un maître dans l’art du plaquage
tab-sse tous ces misérables playmobil
ces ewoks de merde voudraient donner des leçons à obi-wan ken0bi
j’tranche leur carotide avec un pic à glace
les découpe en escalope façon kitana
j’les vois qui s’am-ssent, leurs restes flottant
à la surface de mon aquarium à piranhas
je fais fuir les gens, tel un témoin d’jéhovah
ta ‘sique plaît aux nazes : pléonasme comme les “néo-n-z-s”
tu crois gérer ton buis’ comme un as, mais tu fais naufrage
démoniaque : l’opportuniste face au mélomane
tes histoires ne sont qu’des foutaises de cave
tu te noierais dans une bouteille de sprite
j’ai souffert le martyr à l’écoute de ton album
cas soc’, tu n’es qu’un bouffeur de fat d-ck
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