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letra de ether - beurzh

j’ai l’humeur à couper au katana
mon côté obscur ne dort pas de la night
j’ai peut être le mors depuis le placenta
je vois leurs corps de bleu à bas fahrenheit
je serai le dernier solo comme le nine
armes blanches dans l’armoire, c’est pas narnia
cœur fissuré comme fessenheim
parmi les hypocrites, je suis comme paria
beurzh sans le sceau : ça shoot, c’est sur
pas de doute, pas trop de césures
pas besoin de trop de sessions
tout en un tir comme obsession
il faut que ça tue, je ne fais pas de blessures
homme de valeur, je ne fais pas de blé sur
le dos des autres, il n’y à pas d’excuse
aura de maitre, je mets grosse pression
opère au-delà de la procédure
( au dessus ! )
bien à l’aise dans mes baskets
sous ma casquette bouillonne
dialecte de guerre
j’ai le grain comme sur cassette
crâne rasé : demi ascète
seize fois quatre, prêt à huit heure, réveil à sept
je ne danse pas sous la boule à facettes
ramène verglas à la fête
je renverse quiconque prendra la fève
coup de machette : c’est la jungle
je fais tout : c’est le bundle
génie comme malcolm au middle
branleur comme michael dans l’office
plus de papier qu’une avance de label sur un single
j’ai la flemme et la rigueur
rimes enflammées, j’ai la vigueur
ma lame, encore dans son fourreau
swipe ton buzz avant sa naissance comme un leaker
bien sur que les wacks sont morts
tu croyais quoi ? le rap ça me connait
j’ai cramé l’empire des majors
usines à droïdes mal encodés
je nourris le foyer sans effort
ils veulent mon adresse ? c’est pas la porte à côté
je découpe en quatre/quatre la prod sans shi/shi
le tout soigneus-m-nt f-goté
je ne suis jamais vraiment dans l’ambiance
je ve-esqui le trafic comme l’ambulance
mon esprit esquisse plein de plans brillants
vise tout azimut depuis le radiant
je suis génial et fainéant
donc j’optimise tout ce que j’entreprends
pendant que les foules courent telles des déviants
vers articles de luxe aux prix délirants
quand je pense être meilleur que les autres
c’est “pt’ être” que je suis bien meilleur que les autres
quand tout va mal, je ne vois que les sommes
en somme, je ne vaux peut-être pas mieux que les autres
mais je fais feu de mes mots (maux) comme personne
j’arrive plein phare à travers les persiennes
morning star dans leurs yeux avant que le fer cogne
voyage dans l’esp-ce à travers ondes hertziennes
il n’y a pas de “pompelup, c’est la fête !”
là ? j’arrive “pompe funèbre, c’est la guerre !”
humeur de merde s’immisce dans ma tête
remplie de noirceur, mais je la gère
j’ai le flow à “challenger” les meilleurs nageurs
bosse aucun marketing pour la ménagère
mania rageuse, le thème est majeur
ma colère se consume, se mêle à l’éther -nel…

- beurzh

letras aleatórias

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