a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de teh sur terre - bekar & brass

[intro :]

b-e-b-e
br-ss
cinq feu-neu
hey

[couplet 1 : br-ss et bekar]
gros t’as vu bek’ attaqué
br-ss teh au bec à té-cô
t’aimerais que beaucoup t’écoutes
donc tu taffes ton bic au taquet
c’est pas facile là t’apporte la beuh toquée
tu roulais des pet en cours
mais bon t’es con
elle aggravait beaucoup ton cas
mais les mecs apportaient moi du blé, tu veux m’backer t’es qui ? p-sse nous un beat on va le r’tourner
les waks c’est leur tour
c’est vrai que certains leurs doutes voyant l’heure tourner
tu surpris du prix qu’une erreur coute
j’dévorais ces romans et j’serais toujours là pour un pote
venir en aide à sa reu-mé j’me dévouerais -ssurément
tu roules un teh en balle et smoke, puis t’erres en bas des blocs t’oublies qu’tes rents-pa débloquent et qu’la prière rend pas tes potes
gros j’ai la haine de vincent c-ssel
j’aurais la belle vie qu’au ciel
vu qu’au sol on vit son cas seul
et dans nos têtes le vice est conçut
le cerveau c-ssé, vu qu’on s’saoule chaque jour attendant les vacances
j’emprunte un chemin sans détour tous les jours de l’année
pour faire le tour de la terre on fait né-tour de l’amné
on est sort-t des marécages, venus pour te la mettre
car ils écoutent de la merde, en bas des tours de l’allée
au sommet on s’est hissé
s/o à ceux aussi au ciel
on s’aimait on s’haïssait
-ssomés, -ssis au sol
mec à l’école c’était la merde j’étais soumis aux sciences
j’pensais qu’aux sommes et aux sons
car j’suis né pour te l’amener

[refrain : br-ss et bekar]

alors sur terre, on avance seuls dans nos bulles d’air
dans la u-r t’ère là où ça pue l’teh
en manque de sûreté ton âme est du-per
tu rêves de pureté, mais tu repères que ton avenir tu l’perds
j’ai la rage dans le coeur quand je t’écris ce poème
tu ne méritais pas de partir
pourtant, devoir bâtir ce que t’es
c’est aussi de voir partir ceux que t’aimes
j’ai la rage dans le coeur quand je t’écris ce poème
tu ne méritais pas de partir
pourtant, devoir bâtir ce que t’es
c’est aussi de voir partir ceux que t’aimes

[couplet 2 : br-ss et bekar]

moi dans la rue j’ai trop errer, mais j’aimerais quitter ces trous à rats j’voulais mener ma team à très haut rang
mais j’me suis dit “c’est trop akhi”
faudrait laisser l’entrée aux ronds
pour eux j’ai même taffer au centre-aéré
tu voulais t’envoler, t’en aller dans l’espoir, de plus trainer dans l’allée tous les soirs
toi tu n’aimes pas ce règne sans arrêts saoulé d’voir, tous ces rêves que les années nous laissent croire
tu peux plus maîtriser t’es part-t, mais qui disait donc “la coco n’rend pas fou” ?
tout à coup le dj fait priser les platines aussitot se déclenche un pogo dans la foule
ils aiment te raconter des foutaises, ce soir on ne comptera pas les bouteilles
les mains effritant l’sh-t mais moi j’ai pris tant d’gifles
si j’me retrouve au sommet c’est que dieu l’a écrit dans l’film (hey) le temps p-sse vite j’vois qu’ya ma pet-t soeur au collège
le tir est imprécis mais les gens que j’vise ce reconnaissent
ceux pour qui je n’ai pas d’estime, j’rappe sobre ou quand j’ai taffer l’stick
t’as des marathons, t’as des sprints, chaque texte est un état d’esprit (putain)

[refrain : br-ss et bekar]

- bekar brass

letras aleatórias

MAIS ACESSADOS