a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de beat 2 boul' cha - beat de boul

[sir doum’s]
yo, ça y est j’t’ai cadré comme une cible, t’es presque mort
et même si ton père sort de derrière la scène ce sera le même sort
zox le scorpion, moi le poisson du même fort
on ne nous aura tant notre aura rend nos thèmes fort
si t’aimes fort crie hourra devant ma troupe et sa rage
qui n’se soulage que quand bougent bouls de tout âge
et heureux de tout notre courage mic au poignet tant c’est soigné
j’veux mon t-tre , autant que veux mon sh-t le douanier
au mieux vite, pour ça j’évite menottes aux poignets
j’ai -ssez donné, le morceau manquant d’ma 11eme dent peut en témoigner
pensez à éloigner les civils de la zone c’est la guerre
et j’mettrais même
-ssis à ma table ronde comme la terre
j’fête ta défaite ‘vec mes barons
on festoie puis on t’brûle garçon
galant micro-teneur, meneur je le demeure
autant que l’amant qu’je suis pour celles qui n’aiment parler des heures
le soir j’les chauffe tel du charbon d’locomotive
les cl-tos j’brûle comme zippo
vrai qu’j’suis loco et c’est ça qui m’motive
et c’est haut qu’j’vise
dans la rime et l’show j’mise
tant que quand j’écris des lyrics tu fais une fausse prise

[zoxea]
tu veux la peau d’mon posse ?
t’as pas d’pot mon pote moi j’veux la go d’ton boss
viens blaireau amène même ton rott
on verra qui est l’plus chien de nous deux
qui se mettra à genoux devant le poète rude rempli d’att-tude
celui qu’a l’habitude d’envoyer façon alt-tude en l’air
les frères peu exemplaires rapant vers sans exact-tude
mec dans la vie tu dois pas être celui montré du doigt
contente-toi d’prendre du poids, sois pas absurde
tu vois ce qui arrive au pauv’ bill
les femmes jouent avec lui comme si son nom était clinton playmobil
moi ça m’horripile ou ça l’rend pâle
étant président ça aurait pu l’faire preuve qu’une humilité ça s’remballe
frère va-y enfile tes sandales
on va réduire le mic en cendre et même les clochard donneront 100 balles tellement qu’sur scène y aura du sang
à l’époque on vivait à 100 à l’heure sans avoir peur derrière les cops d’émeute
puis y a eu la maladie, les sœurs plein de virus
comme mala dit : elle t’allume puis dit lus’
à la vie à la mort, moi c’est le pera d’abord
voudrais pas voir ma mère pleurer à ma mort
por favor
laissez-moi kiffer ma zik, laissez-moi rouler ma bille
laissez-moi kiffer ma djig car c’est moi qui fait ma vie quand même
le rap sans zox c’est comme un plat nois-chi sans nems
la musique que j’aime nan j’pourrais pas vivre sans elle
laissez-moi kiffer ma zik, laissez-moi rouler ma bille
laissez-moi kiffer ma djig car c’est moi qui fait ma vie quand même
le rap sans zox c’est comme un plat nois-chi sans nems
la musique que j’aime nan j’pourrais pas vivre sans elle

[chorus]
[midnight run]

[melopheelo]
tous mes thèmes se rapportent à la rue
qu’il s’agisse de flingues, femmes, fortune accrue
voitures de sport, et go sans tissu, suprématie
depuis la rue j’ai fait du chemin
puis j’ai acquis, donné des idées de styles jusqu’au fond de ta ville
j’te présente mon carré de boulogne, c’est mon inspiration
j’suis comme ce drapeau qui flotte dans le vent
et j’t’emmène là où tu veux, aux 4 coins de la france
et quand t’entends la zik faut que ton cœur balance
c’est encore moi qui franchi les étapes supérieurs
notre premier disque c’était une pièce pour les collectionneurs
a présent j’ai l’entreprise, j’fais gaffe à la crise
et puis j’fabrique des disques que je masterise
j’arrive le mic au point, les dents serrées
et si t’es pas à la hauteur, mc, tu peux être sûr, on va te transférer
la compet’ est féroce, beaucoup de jeunes ont faim
j’dois gratter chaque jour l’papier pour être plus fort demain

[cens nino]
les bonjours sont rares, donc à la première occaz’ j’fonce
pour les mauvais d’la mo’vez au mic, j’nique, j’me défonce
j’profite des bons moments, mais pour l’moment c’est la dèche
j’ai envie d’braquer et d’craquer
mais beaucoup d’choses m’en empêchent, c’est auch’
j’pense à mon avenir, à ma vie future
j’essaie de faire le maximum d’bonnes actions car j’deviens mature mais bon tu sais, dans la merde j’veux pas finir, j’veux pas terminer
même si j’ai grandi d’dans, putain, j’veux pas finir périmé
j’évolue dans ma base, mon qg, pont de sèvres, mon labo
et nique sa race les traîtres, les faux, les putes, les collabos bref
mo’vez lang, mon amour, ma sortie d’secours
j’représente encore et encore dans tous mes parcours
hip-hop musique, pure, j’kiffe, j’suis à fond d’dans
toujours partant, combats-toi mc, c’est trop important
j’ai tant d’ambition, tant d’missions à accomplir
j’garde espoir, j’garde la tête haute, mon réservoir va s’remplir

[chorus]
[midnight run]

[dany dan]
seul face à du papelard, mes seufs contre mon matelas
j’accompli ma tâche et gratte un rap
qui parle d’amour, de haine, de violence, de mes connaissances, mêlé de flash-backs de mon adolescence, dan
le prêt-à-faire-feu style d’mc, le cloche-sonneur
bientôt sonnera l’alarme car s’approche mon heure
je prophétise, répands la bonne parole
j’sonne comme un coup d’feu (blah !)
mets dans ta bouche un arrière goût d’beuh
cicatrices-infligueuses, mes notes rapportent thune
j’suis plus fly qu’un astronaute sur la lune
j’te capture, stylo tenant, microphonant grave
d’afrique venant, la nuit des flics prenant garde
dany dan, de l’avant-garde boulonnaise, goose-porteur
avec des jamais-vu-encore shoes-sorteur
trouve-moi sans peur, face au micro shure, cents heures
j’ouvre ma bouche et tous approuvent ma grandeur, dan

[chorus]
[midnight run]

- beat de boul

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