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letra de free smoke (freestyle) - bazoo

enchanté, moi c’est bavaz
toutes mes ex-femmes ont des mignons culs
enchanté, moi c’est bavaz
toutes mes ex-fans font des millions de vues

j’ai le mort : mon soce à perdu. je roule un cône devant jappy
le même jaune que mon papy. coin de l’œil, repère les lardus
ils se prennent pour des portes-voix, j’écoute leurs lamentations
c’est du grand n’importe quoi comme mon alimentation
menotté dans la chop. des barres : on a vu pire
les embrouilles, c’est comme la clope : soit tu parles, soit tu tires
tu joues les scar-la des bars, le faux fusil-mitrailleur
si tu fais la hagra quelque part c’est que tu l’as subit ailleurs
f-ck la vie de romain duris, je respire les vapeurs du bât’
j’aime la seule qui me laisse du riz quand je rentre à quatre heures du mat’
t’habites dans le bendo. c’est quand que tu nous invites ?
ma bite sent le bédo, ton bédo sent la bite
très peu d’amitiés, beaucoup d’oseille pour les reufs au placard qui bouquinent
roule un gros blunt à la groseille. bataille de regarde avec poutine
quand mon bénéf’ s’épaissit, ma veine au front rétrécie
à ré-ti, personne n’hésite. c’est clair, c’est net, c’est précis
un petit café soluble et du shit jaune. pourquoi baisser le volume ? s/o lil jon
je te l’ai déjà dit : je viens d’une petite zone. voir un schmitt respirer, c’est mon k!ll-joy
t’es bien gentil, sert à r comme la femme de fillon depuis 2011
t’es qu’un ient-cli, j’ai pas connu la cale de pilon depuis 2011
très loin des idées de gandhi. petit, j’observais les bandits
pour des sous, le gun est brandi. j’en aurai un quand j’aurai grandi
je voulais monter les étages, je voulais frac-sser des têtes
je suis né, aucun héritage. seulement ram-sser les dettes
crois pas que je suis ché-per : je dis que la vérité
je dis pas que je veux cé-per : je dis juste que je l’ai mérité
j’aime les racli, la fraiche. sans l’illégal, j’aurais rien
résine pakistanaise, cinéma coréen
pas de coupe au gel horrible, pas de gros bling, pas de ferrari
pas de petit déj’ au lit. remets ton string : ton uber arrive
plus facile d’atteindre le but une fois que le doute n’est plus là
on n’aime pas leur mode de pute, on garde la coupe regular
je suis posé avec mes grands. j’attends que mon heure sonne
toujours au dernier rang, toujours aux premières loges
ça bicrave dès le plus jeune âge même les plus tenaces tenaillés par le doute
le savoir une grenade, évite de faire le ouf, refuse de faire le schouf sinon c’est l’engrenage
on la prend dans la gueule cette réalité, ça tu l’avais compris
on la plante, on la cueille et on la fume à l’oeil
peu d’intermédiaire donc on a les bons prix
ta musique sucrée, j’ai besoin d’insuline. une laser et je t’arrache le trophée des mains
on fait pas la bise aux femmes trop masculines, on serra pas la main aux hommes trop féminins
je te file ton cinquante euj, j’efface les sms
je p-sse devant les baceux, je graille des m&m’s

- bazoo

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