letra de 905 - ashh
j’allume la télé, j’rentre
caresse moi doucement
dans ce monde de félé j’rampe
le poids d’mes erreurs sur mon dos
j’peux plus recompter les crampes
au dernier étage du bât j’bois
au dernier étage du bât j’bois un verre, j’aime mater les gens
ma raison le déni [?]
j’observe la [?]
j’baise une femme intelligente
j’vois plus l’beau temps, j’pense qu’à l’averse
j’vois tous ces batards faire et j’pense à l’inverse
cash dans ma poche mais j’ai des poches sous les yeux
crache dans la porsche et j’vois les cops sous mes yeux
avant, on aimait traîner dans le bat tous les deux
au parc on r’gardait passer tous les p’tits, tous les vieux
ouai
j’espère qu’ta mère va bien gros, j’lui envoie tous mes vœux
tu perds des amis comme en boîte tu perds tous tes feux
t’as ridé dans le side, gros tu grilles tous les feux
et tu caresses ta b-tch, lui dit “je t’aime” dans les yeux
t’en oublie ta vie, reflet du ciel dans tes yeux
soleil s’allonge quand j’ouvre le pinot gris
quand j’ouvre la bouteille
mais j’me rappelle avant j’virai au dramej’virai au drame
tu brûlais la drogue que t’as acheté au gramme
j’ai versé de l’essence et t’as crié “on crame”
bang, bang, bang, dans la benzo wouf
3 heures, 4 heures, 5 heures avec tous mes dogs
fumer toutes les drogues, brûler tous les medocs
ramasse la, ramasse la braise bébé
dans mon veau-cer, j’ai des images de nous deux
des pays où on a jamais été
des plages on y sera jamais l’été
tout ce qu’on a jamais été
please baby, please, tu m’as sucé sur les knees
t’aspire mon âme [?] et t’as aspiré mes hantises
j’veux resserrer les visses, 300 biatches friandises
dans la boîte avec les g’s et t’as oublié c’qu’on s’est dit
ta jalousie c’était trop, et t’as menti sur mon dos
j’ai jamais levé la main sur toi, jamais cassé un pot
y’a qu’au lit qu’tu voulais que j’te serre, au lit j’cassais ton dos
t’avais trop d’insécurités et tu m’as mal imité
parce que moi j’t’aimais pour de vrai, pas pour voir des liquidités
et j’sais que si j’étais pas ashh, tu m’aurais jamais calculé
si j’étais pas ashh, t’aurais eu rien à raconter
t’as voulu salir mon nom, salir ma réputation
brûler à vif tout c’que j’ai bâtit, t’as pas fait attention
mais on connaît ton genre de gow
ta maman est partie tôt, avec un autre
t’as regardé ton père se détruire, t’as jamais eu les mots
à bxl, on boit dans ce bar
et t’en as marre de vivre chez moi
j’t’ai dit “si tu veux on se barre”
et t’en a marre des filles autour de moi
pour toi, j’suis qu’un rappeur, j’prends jamais tes peines à cœur
t’aimais trop nous faire la guerre, des fois tu m’appelais en pleurs
sans raison, mais t’aimais le faire et tu voulais qu’on chante en cœur
à amsterdam, j’ai compris, j’ai du te quitter comme ça
et j’ai découvert que t’avais un only fans pff
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