letra de street poetry - amk
[paroles de “street poetry”]
[intro]
eh, eh
l’ingé’ vient d’repull up le son là
c’est réel
15, c’est l’nom du projet
ouais, ouais, ouais
ça va barder, hein
on a bossé dur donc, hey, eh-eh, eh-eh
[couplet unique]
bien ou quoi ? l’industrie braille, elle a les oreilles qui sifflent (fort)
qu’on m’aime ou pas, qu’est-ce que ça change ? bientôt, j’vais m’barrer d’ici (eh-eh)
tenir, crois pas qu’c’est easy, jamais on stoppe
gérer, réussite ou flop, sur ma mère, crois pas qu’c’est pas difficile
tu vas t’manger lе mur, tu crois qu’la vie, c’est simple
fais un tour chеz nous, la lumière va s’éteindre
par ici, ça peut aller vite, ça vient du 15, des quartiers maléfiques
par ici, les jeunes ados n’aiment pas les flics et ça, c’est normal (eh-eh)
igo, dans peu d’temps, faut qu’j’taille à miami car de mois en mois, sont d’plus en plus à d’parler d’moi en mal
moi, la maille, sur l’juice comme gims, donnez-moi la maille
arrêtez d’parler, moi j’sais, plus on fait d’boucan, moins on maille
alors, je rode dans la ville à la recherche de ma paie
igo, quand ça va mal, l’alcool se charge de ma peine (yeah)
c’est réel, longtemps qu’un verre ne suffit pas, j’veux la ‘teille
la peau d’eau, j’suis dans l’tunnel, ça capte pas, j’te rappelle
okay, ça donne des beaux couplets quand mes pensées s’imbriquent
les proches ne soutiennent plus, pourtant, les étrangers s’impliquent
c’est clair comme les premiers flocons pour annoncer l’hiver
traîne pas dans mes pattes, mon frère, tu sais, j’suis un loup solitaire
moi à la base, gros, quoi qu’ils disent, on brasse, gros
j’apprends à danser sous la pluie qui tombe en attendant qu’ils fassent beau
eh, ne compter que sur soi, c’est comme ça qu’on s’en sort
entouré : je me sens seul et faible, seul : je me sens fort (fort)
quand la chance passe, c’est tellement rare, on fait un vœu (on fait un vœu)
viens m’ôter l’pain d’la bouche si tu crois qu’c’est un jeu (ouais, ouais)
pas b’soin d’une équipe pour le faire, on l’fait à deux
avant d’partir, moi, j’ai quelques requêtes à faire à dieu
d’abord, que la cupidité cesse de me dévorer l’âme
et qu’il accueille au ciel, celle de trevor et dan
tous les matins, on bosse, tous les après-m’, on bosse
tous les soirs, té-ma les grosses cernes sous nos ray-ban (fort)
tu casses, tu payes, igo, si tu payes pas quand tu casses, on t’la met
j’ai pas attendu l’argent du rap pour porter ice aux poignets
ça fait des passes aux camés dans tout bériz, c’est mes écrits qui m’guérissent
rien qu’ça score quand j’me déplace au panier (switch)
ma jeunesse dans les rues de paris, quinzième
parle des envieux, des amis chers qu’ont taillé dans l’ciel
okay, j’aimerais dire à mes potos en train d’en chier au pénitencier
qu’c’est la paix, gros, qu’la guerre est dans l’ciel, okay
hun-hun, quoi qu’ils disent, ça vient du 7.5 (7.5)
si c’est pas moi, personne rempli l’assiette, ‘sin (ah ouais)
hun-hun (7.5.5), wagwan
[outro]
15, c’est le nom du projet
okay
pa-pah, grr, rah
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