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letra de noctambules - amars

[couplet 1: mathieu]
la nuit je m’efforce de trouver le sommeil c’est comme chercher d’ici le soleil
la nuit je m’efforce de trouver le sommeil cette vie renforce ce qui est passionnel

je me rappelle de son parfum, miel
un visage venu du ciel
elle avait tout de l’essentiellе
son amour n’était que partiel
sur l’oreillеr ça fumait plus que le cendrier
nos corps pliés vidés de sens comme l’encrier

j’écrivais tard le soir pour raconter des histoires
où dedans tu ne serais pas, où la morale nous sépare
c’est étrange mais quand j’y pense j’étais mieux dedans
c’est tentant mais quand on danse j’étais dans le vent

soudain tout s’est figé, soudain je t’ai fixé
t’as mis le doute dans tous les idéaux que j’avais fixé
et dans les rues je déambule et dans la lune je t’ai en vue
et quand j’y pense, c’est toi qui a défait tous mes sens

[refrain: jérémy]
là je suis dans ma bulle
je me balade tout seul dans les rues
une réflexion sous un croissant de lune
je mène ma vie tel un noctambule
[couplet 2: mattéo]
j’ai cru que j’étouffais, toute cette histoire me prend la tête m’empêche de respirer
pourquoi l’homme cherche toujours des moyens de s’échapper
icare aurait dû m’appeler, je l’aurais fait décoller

attends, écoute ce couplet, et médite
apprécie cette pause qu’elle fasse de toi un homme émérite
évidemment, cette histoire un vrai roman
notre flow est sauveur comme les states, pendant le débarquement

et t’aimes ce texte, dans ce contexte, on te teste
cet air te séduit comme une secte, à sept on s’extasie
je t’invite, avide d’aventures vide est mon verre, c’est la vida
je me prends pour nek le fennec, allitérations c’est pour toi

une armée de problème, se promène dans nos têtes
on marche sans réel but, juste histoire de faire un petit break
indécis on était comme une bonne partie d’échec
on était incompris comme un climatiseur au land-groen

[refrain: jérémy]
là je suis dans ma bulle
je me balade tout seul dans les rues
une réflexion sous un croissant de lune
je mène ma vie tel un noctambule
[couplet 3 : jérémy]
toujours la même merde, la même ville, dans laquelle on traîne
la routine ne fait que se répéter
toutes les semaines, quand tu penses à partir, il y a trop de contraintes
de toute façon les gens d’ici ne font que de se plaindre

les rues sont calmes, cet été, j’aime entendre le bruit du vent
le soleil commence à se coucher, j’aime pas voir passer le temps
plus le temps passe, les images restent et ça nous blesse, tristesse
ca me bouleverse, j’ai la boule au ventre, je me met sur un banc, je tape un malaise
a force de traîner la nuit j’aime plus la lumière
c’est pas de votre faute, mais je me fais chier sur terre
t’es partie tout a changé, impossible de me concentrer

[refrain: jérémy]
là je suis dans ma bulle
je me balade tout seul dans les rues
une réflexion sous un croissant de lune
je mène ma vie tel un noctambule

- amars

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