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letra de cômelepadre. - achim

[paroles de “cômelepadre.”]

[refrain]
comme le padre, ils auront toujours des trucs à redire
‘s’ont aucune cartouche, non rien qu’on tire
j’ai les gamberges qui empirent
mes sales visions qui reviennent, mais en pire, ah
j’partage aucun rappeur, j’partage que mes peurs
j’cherche sa main quand ce passé m’effleure
j’fais ça bien, eux ça les écœure
dans mon jardin, ils veulent écraser mes fleurs

[couplet 1]
à la base, j’suis un [?] (tout le monde)
je m’suis intéressé au foot pour avoir des discussions avec le daron (ouais)
j’te mets les basses, faut qu’tu captes qu’avant ça, dans la pièce, moi j’étais une tâche marron
début de vie bancale, depuis que j’m’en souvienne (ça m’a poncé)
aujourd’hui, j’me sens comme bellingham dans l’temps additionnel
maintenant, ma vie c’est les montagnes russes (russes)
les gens trop énergiques, moi ça m’agresse
manquer d’adresse, j’ai la presse, [?} comme les tapas d’un tabac presse
en vrai, les étoiles entre elles, de quoi parle-t-elle ?
j’leur ai crié mon tel’, j’attends qu’elles m’appellent
j’aimerais savoir si mes plans et les leurs sont les mêmes, ah ouais (ah ouais)
dans la ville, ils se sont pris nos taffs (tous)
y en a ils ont revu toute leur da (ouais)
les mêmes qui se marraient d’moi, aujourd’hui, ils paraissent moins froids (ouais)
c’est gênant, j’fais comme si j’m’en rappelais pas, vous faites comme si je rappais pas (ouais, faites comme ça)
[refrain]
comme le padre, ils auront toujours des trucs à redire
‘s’ont aucune cartouche, non rien qu’on tire
j’ai les gamberges qui empirent
mes sales visions qui reviennent, mais en pire, ah
j’partage aucun rappeur, j’partage que mes peurs
j’cherche sa main quand ce passé m’effleure
j’fais ça bien, eux ça les écœure
dans mon jardin, ils veulent écraser mes fleurs (yeah)

[couplet 2]
j’peux pas les laisser m’juger, ils découvrent à peine le s-xe, moi, j’suis à découvert le sept
j’reconnais leur {?] (j’reconnais tout)
j’fais genre de rien pour mieux les repousser
chez nous, on s’dit pas : “je t’aime”, c’est comme ça, mais j’aurais peut-être voulu l’entendre une fois
pour pas les chercher dans les bras d’une folle (folle)
le vent fait trembler mon reflet dans la flotte, j’vois ça comme un signe de mon âme, qui m’fait un feedback, mais j’l’écoute pas (non)
tant qu’on n’y [?] pas (non)
qu’le quartier nous quitte pas (qu’le quartier nous quitte pas)
j’essaie d’échapper à mes mauvaises prédictions, en même temps, j’les cultive comme une addiction (yes)
j’sais jamais quand fuir, quand ralentir, quand ralentir
j’ai, devant le danger, été figé (hein)
j’ai débranché tous les fils, c’est (j’ai débran-)
ma seule réponse à ces fils de (yah)
les belles pensées sont éclipsées, par des quêtes artificielles (-ficielles)
dont on voit toutes les ficelles (ficelles)
la vague
[refrain]
comme le padre, ils auront toujours des trucs à redire
‘s’ont aucune cartouche, non rien qu’on tire
j’ai les gamberges qui empirent
mes sales visions qui reviennent, mais en pire, ah
j’partage aucun rappeur, j’partage que mes peurs
j’cherche sa main quand ce passé m’effleure
j’fais ça bien, eux ça les écœure
dans mon jardin, ils veulent écraser mes fleurs

- achim

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