letra de le bois des marionnettes - 1984
[introduction]
“il faut produire toujours plus” nous surinent les politiques, c’est, soit disant, la seule issue à la crise
mais les politiques ne sont que des marionnettes des grandes firmes. on nous raconte que le chômage est en baisse
oui, mais la vérité on la connait. les pauvres s’appauvrissent et les riches s’enrichissent
[couplet 1]
se laisser guider, au bord de la falaise
enclin à absorber, n’importe quelle foutaise
d’un extrême à l’autre, la morale se vautre
dans la stupidité de la simplicité
raconter le monde accoudé au comptoir
des théories qui se fondent, en balayant l’histoire
des avis conditionnés, à chaque tour de table
des convictions bancales, largement influencées
les p-ssifs sont ainsi, rien de précis
rien de défini dans la parole des indécis
et si tourne le vent tu n’as rien d’un combattant
être dans l’air du temps, jamais à contre-courant
une pâle copie, qui sera convaincue
par les amas de connerie des premiers venus
être sous l’emprise des manipulateurs
mettre les doigts dans la prise pour faire leur bonheur
[refrain x2]
des pantins de bois sous la croix d’attelle
qui gesticulent à tout va pendus à quelques ficelles
qui se donnent des apparences pour avoir de l’importance
et bien souvent sont le contraire de ce que l’on pense
[couplet 2]
créateurs de code, délimiteurs de normes
sont les suiveurs de mode qui souvent dép-ssent les bornes
imitateurs sans talent, flambeur sans argent
je vois tous ces pommés qui perdent leur temps
enclins dans les broutilles, s’accrochant aux peccadilles
tous ceux qui se lamentent, qui restent dans l’attente
se plaignent les bras croisées, espérant que ça va p-sser
mais les solutions c’est pas du ciel qu’elles vont tomber
ils ne demandent qu’à être le centre du monde
des bouffonneries plein la tête et c’est leurs proches qu’ils inondent
ceux qui te plombent et t’attirent vers le bas
ceux qui salissent eux-même leurs draps
les autodidactes de leurs propres galères
qui partent dans tous les sens pour ne jamais rien faire
le drame d’une époque, celle des individualistes
qui ne prennent pas le risque de s’intéresser aux autres
[refrain x2]
[scratchs]
[couplet 3]
la tête cimentée, mais bien trop attiré
par leur système financier, tu seras l’objet
la victime des plus triviaux, rentre dans le moule
alors les gepettos feront de toi un collabo’
toujours se placer du bon côté du revolver
et la loyauté enfile sa veste à l’envers
ceux qui tirent tes ficelles agissent en l’honneur
de leurs bénef’ personnels, coupables de leurs erreurs
lorsque l’on préfère se taire, c’est nos principes qui s’enterrent
ça tourne à l’obsession quand s’efface la raison
les fantasmes naissent de la bouche de l’ignorance
et les mégalos se bercent au cœur de l’arrogance
forcé de constater toute notre naïveté
mon verdict est lâché, la sentence est tombée
nous sommes des imbéciles qui se jettent dans le trou
il est bien plus facile de rendre les hommes fous
[refrain x2]
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