letra de isolé - 10akadix
a l’hp psy taffe, la déprime y est
gratte des rimes vite fait, casse-dédi ce
qui reste les méandres étanche est l’flow
même étrange et faut s’étendre, quand l’serpent
est stoppé, même trop opé, lis peyo
dérangé faut pas l’être quand filent tempo
et lettres, dans l’étang des fautes, arrête
dévôt d’basthet, sale bête
défauts tarés que l’on concasse comme la
weed dans des grosses mallettes, mmh
dans des temples ère en soulard, car sous
l’art descende l’air et l’e haut, là où
le horla
et le larousse sont légendaires tant pis
tempère, sempiternel recommencement, en sifflant
l’air de ç’t’offrande tremble, vos pans-m-nts
sont love et de l’homme dans l’chanvre, augmentant
l’temps non0bstant romançant l’vent choquant
sans l’sens profond, t’morfond et l’fond mord
à l’hameçon, le condor à l’hanneton, donc
sors à pas de bon gars bongos bringues et
compas dans l’oeil
on passe dans l’impasse, on nage dans peurs
et pleurs, constate l’ampleur de contrats
concaves, convaint l’con, l’son bien rond
gronde dans les sonates et les complaintes
qu’on peint, on conviendra qu’il faille kiffer
son pintage, limer son feintage, s’givrer
car l’onde instable dont l’installation est
fonk nous confie qu’on s’fie pas au conflit
on flique l’onction, kiffe sont tison, le
bon pilon qu’on oublia goupilla l’sourire
narquois
on rend con plus d’un, sur un lit de contention
putains d’obtention des droits de l’homme
qu’on plonge dans le purin purée de foin
groin foutu dans l’urée geint plus et longtemps
l’plomb contenta nos corps comme une fumée
d’joint qu’on s’prend
ils restent constant dans leur luxe qu’est
rien, on s’prend l’mur et plus rien n’est
pur, le père du-per s’plaint d’être dupe
mais ç’lien n’est rien d’plus qu’un r’cul
des miens, r’fus qu’les reins lâchent, j’use
des feintes dont l’du est d’un mois et sache
que sont temps vient quand ton vent s’teind
comme tout un bouillon en vain humé loin
de tout ce que la durée d’vient quand t’as
su ce que les vins qu’on sent scindent et
ç’que d’vient l’sont quand mien et tien s’lient
et qu’on est pleins, j’ dépeins que la ronde
en vainc 7
amusé à ruser j’rejoins mes potes dans les
musées à m’user d’mains d’muses donc empreint
d’cet amour
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