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letra de brasier 1 - l'art mistice

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[verse 1: toro]
le style est hypnotique les rappeurs ont des pet-tes coliques
si ils se prennent tous pour superman, gars je suis d’la kryptonite
que des types comiques qui polluent ma culture
j’évolue sans être connu parmi ceux qui graffent les murs
je taff dur dis à tous ceux qui disent que je rappais plus
que j’ai mis mes plus belles chaussures pour leur marcher d’ssus
j’ai traîné dans les rues tel un vulgaire vagabond
j’ai vu que les gens courent à leur perte tous ensemble dans un marathon
j’te p-sse un savon si tu crois qu’tu fais du sale
je leur en fais voir de toutes les couleurs pour qu’ils finissent pâles
sur une prod de manimal l’animal est enragé
la tête dans les nuages vu qu’le ciel est ombragé
mon rap est engagé j’suis venu prendre ma position
quand on kick on crache le feu toi tu lâches des postillons
check la prestation, je balance des météorites
la diversité est une force donc remballe tes stéréotypes

[verse 2: 7-ip]
j’arrive avec mes renégats les emcees prenez garde
pour claquer ces sales minus à chaque minute même si l’heure est grave
et mes refrés savent, donc mes refrés s’arment
vas y lâche un reuvé sale et mon poto j’refais ça
même amoché, j’espère que t’es bien accroché
mon rap un uppercut tu tombes direct à chaque crochet
c’est ça l’projet, les rivaux à la brochette
donc les minots approchez, que j’vous dise à la prochaine
flow dangereux, qui fait fondre les gros glaciers
quand c’est chaud brasier tu peux voir mes khos dans l’feu
frérot j’en veux et si j’clash les gros envieux
c’est qu’leurs paroles sont futiles aussi efficace qu’un bédo sans beuh
pas d’faux enjeux, j’suis ce gars qui plait aux filles
c’est nos vies lâchez mes pelos vite car le bédo file
c’est peu tentant, vu qu’y a que des néophytes
le rap un jeu d’enfant mec j’suis devenu pédophile

[verse 3: ath]
j’opère sans anesthésie, c’est l’art mistice qui t’éclate l’hymen
il faut qu’mes gars sévissent car dans le rap y a qu’des t-ss qui serrent
tu verras qu’c’est pas mal vi-ser, l’équipe est auch, plus rien ne m’étonne
j’écris des strophes, messi est mort car j’ai la frappe qui pèse
pas de mytho dans mes se-pha
attaque barbare comme le minot nommé citam
les mythos me salissent, veulent le khalis mais vont khal-ss
j’entends des histoires salaces mais ces histoires sentent la malice
j’resterai le même et c’est sûr guette les faux que j’ai croisé
check l’écho on n’est pas ex-æquo je les ai dép-ssé
j’vois le vice de près, fils de chienne
beaucoup d’eux changent font trop de choses pour le spliff de verte
leur vie de rêve, nous semble inaccessible
comment ne pas vesqui la flicaille qui attriste nos mères ?!
l’envie d’oseille envoie les hommes dans le vide
j’en vois des tonnes parce que sans l’or y a pas la vie de rêve

[verse 4: citam]
téma les récits que j’amène, dans la rétine de la haine
c’est pénible toutes ces vrais b-tch moi je chérie que ma mère !
on fait tous état d’la malice, shooté par la fatigue
dans tous les cas, mes couz péra donc fous les wacks à l’abri
j’arrive comme une vague, y a des vautours sur la rive
tu dis qu’la vie c’est un loto, poto t’as faux sur toute la ligne
un garçon impulsif, qui à parcouru des peines
j’ai pas voulu d’tes aides, car j’ai partout vu des traîtres
et minot d’mande à ath, “je m’isole quand ça parait cl-sse”
du sh-t en excédant depuis qu’on mijote dans les marécages
anh, je ricane pour
ceux qui ont l’seum de s’faire froisser par un pet-t babtou
on les shoot sans recul, apporte la fraîche, les sommes
moi j’barrode avec des soss qui valent toutes vos bandes de putes
tu fumes ton mégots d’seum, moi j’ai ta miss au bed
elle dit que j’suis un mec au d’ssus, sans que j’la prenne en missionnaire

[verse 5: kingsto]
on descend la visière pour moins capter d’images
pour mieux s’cacher l’visage, s’éloigner d’la misère
entre la vie et les culs, taffer toujours les études
plus d’excuses, j’uppercut, ‘vec la même fougue qu’hier
on crache le brasier, guette la poudrière
frère la pouf d’hier, tu t’l’ai tapé
gaffe aux vices d’la souricière, les soucis j’flaire, pour mieux flâner
dans une décapotable que des dégâts potable , ma gow j’ai finis par la zapper
toutes ces soirées festifs, mehdi ponce le 4 feuille
il aiguise, ses rimes qu’il exprime après l’heure de l’after
pas d’bluff j’ai pas d’coeur, j’lance des piques à mon âme sœur
ça parle de valeur, un coup d’vent ça inverse les vapeurs
dang’reux avec mon escorte, sans beuh faut que j’performe
trop d’efforts, j’les écrase, j’crache des lames ma gorge s’écorche
mes proches s’efforcent à garder l’calme pour moi
ma vie vrille je fourvoie, ça m’fait atterrir dans l’décor

[verse 6: abdymeh]
j’me barre, je frappe la baffe, je claque ta reum, le vice nous tuera
je fais mes li-sses j’agace les autres emcees l’projet est durable
la bicrave, le charbon les miss fines, le blafond
l’armistice perdurera au plus profond des abîmes
je gère déjà -ssez le pera comme le king et ses valets
si une miss viens m’remballer plus besoin de checher l’repas
le cendrier s’ent-sse on a fait l’tour des proses
dans mon mp3 y’a que du nas fournit d’une grosse dose
la concu est trop fragile pour nous ils touchent du bois
on est p-ssé en mode tactile c’est nous les f-cking rois
il est temps de p-sser à autre chose une atmosphère neuve
un putain de chef d’œuvre, la caravane p-sse, les fils de putes aboient
on extermine les wack à la manière du choléra nique la joncquera
des gows sautables, des mecs deters ça part en grosse sautade
bobé comme un soldat j’ai pas le permis d’arme
elles tizzent toutes la zeub comme un soda

[verse 7: le mach]
on soutient les gavas malgré les conséquences
on ferme les yeux sur tout l’oseille qu’on dépense
on établit les règles grâce à nos compétences
as-tu ressentis la vague que le son déclenche ?
on est sarcastique, jamais d’tech a sec, mefer comme un cercle aztèque
mes gars aiment la verte et flair l’affaire qui t’laisse a terre
on pera avec trop d’aisance
si tu penses test ça mec tu finis dans un sac plastique
woah woah woah, toute l’équipe est grave faya
codéine dans le back pack gars
j’marche j’parle pas, car, tout le monde sait ou j’vais
j’sais qui il y a derrière moi j’ai pas besoin d’me retourner
et je n’crois pas aux fans; quand je vois ce monde de vrai rat
un jour ils veulent que tu t’chauffes et le lendemain qu’tu mé-cra
donc on s’regroupe entre reufs, loin du mouv’ment teuf
j’miserais pas sur nos vies car on n’fait qu’tout l’temps qu’bluff
donc on avance et évite que le cadran nous épate
on est garant du spectacle si y a l’terh d’afghan pour mes types
et quitte à perdre on invest-t car on compte rester
j’finis sur une note de respect: nique ta mère!

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